Pour la prochaine saison au sein de mon club, je vais animer la formation « Plongeur Niveau 2 FFESSM » (Qualifications PA20 et PE40) avec l’aide de mes 2 amis J.P. et R. Nous allons décliner la progression que j’ai décrite il y a quelque temps dans cet article. Immanquablement, nous allons effectuer des remontées assistées et des sauvetages (même si je considère que cela n’est pas et ne doit pas être le cœur de la formation !). On sait bien que lors de ces phases d’apprentissage les vitesses de remontée sont plus ou moins respectées ! De plus, l’enchainement répété de ce type d’exercice fait que l’ordinateur de plongée, même s’il affiche des informations, ne peut plus être considéré comme un élément fiable de gestion de la décompression, mais juste comme un élément d’information. Vous l’aurez compris, l’objet de de ce billet est de proposer une démarche qui permette de gérer la décompression de la palanquée dans des conditions satisfaisantes de sécurité…
FFESSM
Udako urpekaritza Donibane Lohizunen (Plongées estivales à Saint-Jean-de-Luz)
Cet été, ma binôme préférée et moi avions initialement prévu de partir en road-trip en Croatie, mais le suivi thérapeutique de mon affection en a décidé autrement ! Nos vacances se sont retrouvées écourtées, et nous avons dû organiser notre migration estivale en fonction du suivi mis en place. Nous avons donc décidé de poser nos palmes au Pays Basque dans un premier temps, puis de parcourir les Asturies (où j’ai eu la surprise de découvrir les origines celtes de ses habitants !). Comme à mon habitude, voici un petit compte-rendu de notre séjour subaquatique, en espérant que vous le trouverez intéressant !
Une journée particulière de plongée
Le 6 juin dernier, un regroupement départemental pour la formation « Niveau 4 – Guide de Palanquée » a été organisé par le Codep 44. C’est donc tout naturellement que j’ai proposé mon aide pour venir titiller les stagiaires, dont l’évaluation approche (ce devrait être fin août pour certains, ou en octobre pour d’autres). Comme à mon habitude, je vais effectuer ici un compte-rendu de cette journée, pour démystifier cette formation qui, à tort, continue « d’effrayer » ou de rebuter pas mal de plongeurs et de plongeuses. Il est d’autant plus important de former des guides aujourd’hui, ce seront les encadrants de demain, ainsi que les moniteurs du futur.
Une session RIFAP en temps de COVID
Cette saison sportive est perturbée à bien des égards. Pour ma part, j’ai tenté de contribuer à la formation Guide de Palanquée organisée par le Codep 44 (c’est une formation que j’affectionne particulièrement). Cependant, mon ami C., moniteur responsable de la formation Niveau 3 dans mon club, m’a sollicité pour savoir si je pouvais prendre en charge la mise en œuvre de la formation RIFA Plongée (Réactions et Intervention Face à un Accident de Plongée). J’ai accepté avec plaisir, et j’ai demandée à mon amie S., monitrice professionnelle qui vient souvent nous aider bénévolement, d’organiser cette formation avec moi. L’objectif de ce billet est donc de partager la façon dont nous nous y sommes pris pour organiser cette qualification, dans les respect des règles sanitaires et dans le contexte particulier de la pandémie qui nous affecte aujourd’hui. Je vais donc effectuer un bref rappel des attendus de cette formation, puis expliquer la façon dont S. et moi avons déroulé le contenu pédagogique. Je suis bien évidemment preneur de vos remarques pour améliorer le contenu de cette formation.
Les différents moments d’une plongée
J’ai coutume de dire que notre sport est une activité rythmée par des rituels. En effet, même si toutes les plongées sont différentes les unes des autres, et portent chacune leur lot de surprises, l’ensemble des moments qui composent une exploration (ou une plongée technique) sont rigoureusement les mêmes. J’ai donc « naturellement » eu l’idée de ce court billet pour les passer en revue, les décrire, et partager avec les débutants ces différentes phases afin de démystifier tout cela ! J’en profiterai pour identifier les moments qui me plaisent le plus (et inversement).
Les plongées qui m’ont marqué
En cette période d’épidémie, je passe mes journées en télétravail, et de fait, je plonge assez peu (pour le moment). Je prévois de passer quelques jours dans le sud de la France prochainement et j’espère pouvoir y tremper mes palmes, notamment avec ma fille L., qui a posé ses valises il y a maintenant quatre ans sur les bords de la Méditerranée. Pour patienter, je me replonge dans mon carnet de plongées, et je tente de me rappeler les bons moments ainsi que les plongées qui ont été moins agréables… Je vais donc dans ce billet vous proposer un florilège des dix plongées qui m’ont le plus marqué. Je n’ai pas dans l’idée de sortir du chapeau exclusivement des plongées du bout du monde (même si il y en a), d’autant plus que la situation sanitaire mondiale va certainement influer sur notre manière d’aborder les fonds et les voyages. Comme toujours, je vous invite à apporter des commentaires à mes choix forcément subjectifs !
Une plongée technique en carrière
En cette période hivernale, au sein du GEASM, mon club de plongée, nous continuons à plonger pour préparer techniquement les stagiaires Guide de Palanquée inscrits à la formation départementale, avec l’objectif de les amener à se présenter au stage final et à l’examen pour juin 2020. Ce dimanche 9 Février, ce sont deux d’entre eux, A. et J. qui ont décidé de venir tremper leurs palmes et s’astreindre à subir les « turpitudes » imposées par leurs moniteurs ! L’objet de ce billet est donc de narrer le déroulement de cette journée pour peut-être (sait-on jamais) vous donner envie de vous lancer dans l’aventure du Niveau 4 ou au moins de vous bouger pour aller plonger en eau fraîche !
Le Guide de Palanquée FFESSM, Version Finale ?
Voilà maintenant 9 mois que le chapitre du Manuel de Formation Technique « Guide de Palanquée – Niveau 4 » a été une nouvelle fois mis à jour. La dernière révision du texte date du 28 Mars 2019, et cette version semblant stable, il m’a semblé intéressant de la détailler une nouvelle fois pour bien la décrire, l’expliquer, et y apporter mon commentaire, en toute bienveillance. C’est maintenant la version 3.3 de ce texte qui n’a cessé d’évoluer depuis la première évolution, mise en pace le 10 Juin 2013, qui officialisait la disparition du diplôme de « Plongeur niveau IV Capacitaire ». Voici donc le détail des attendus que doit réaliser un candidat pour décrocher ce fameux sésame, permettant de passer dans le monde de l’encadrement en plongée.
Quelques éléments pour réussir une plongée de nuit
Pour tous les plongeurs qui l’ont déjà pratiquée, la plongée de nuit reste un plaisir des sens inégalé. Pour les autres, cela est bien mystérieux, voire inquiétant. Je me rappelle lors de notre escapade printanière d’avril dernier sur l’île de Madère, notre directeur de plongée nous avait donné rendez-vous vers 17h30 au local du centre de plongée pour aller faire une plongée de nuit sur le « house-reef ». Nous étions impatients de nous immerger, tous les vancanciers présents sur le bord de mer semblaient intrigués, et nous prenaient peut-être pour des fous d’aller nous immerger à la nuit tombante dans l’océan ! Afin de démystifier cela pour les néophytes, et afin de partager les quelques principes de bon sens pour les plongeurs confirmés, je me suis dit qu’un petit billet sur ce sujet pourrait être utile à toutes et tous. Je vous propose donc de passer en revue les différences principales entre la plongée diurne et la plongée nocturne, de lister pour les plongeurs quelques règles de bon sens, et de proposer aux Directeurs de Plongée quelques éléments supplémentaires. Cet article, comme à mon habitude, ne se veut pas définitif, et ne demande qu’à être enrichi de vos remarques !
Plongées au Pays Léonard (en terres carantécoises) – Splujadennoù e Bro Leon (en karanteg)
Chaque année, avec mon club, le GEASM, nous effectuons une sortie plongée sur le week-end de l’Ascension. En général nous choisissons une destination pas trop lointaine de notre camp de base, et cette année, nous avons décidé d’aller tremper nos palmes dans la région où je puise mes origines depuis plus de 10 générations, à savoir le « Bro Leon », ou Pays Léonard, et plus particulièrement en Baie de Morlaix (qui sans conteste, ni chauvinisme aucun, est la plus belle baie du monde, comme chacun le sait ). Nous nous sommes appuyés sur les moyens techniques de la structure « Carantec Nautisme« , située sur la plage du Kélenn. L’objet de ce billet est donc de vous relater cette sortie, et peut-être de vous donner aussi envie d’aller y plonger !