Tous ceux et celles qui ont déjà goûté à la Mer Rouge le savent bien, cette mer agit comme un aimant pour tous les plongeurs qui y ont trempés leurs palmes. J’ai déjà effectué plusieurs croisières au départ d’Hurghada ou de Port Ghalib (je n’ai d’ailleurs pratiqué la Mer Rouge qu’avec cette formule), et je gardais un souvenir ému de la croisière nord que j’avais effectuée en 2011 avec S., ma binôme préférée, et mes deux filles A. et L., alors âgées de 19 et 16 ans. Après avoir effectué une « B.D.E. » (appelée aussi « Triangle d’or », car elle permet de plonger aux Îles Brothers, à Daedalus Reef et sur Elphinstone Reef), en 2013, et une « St John’s Reef » en 2017, j’ai voulu proposer à A. et L. de partager ces moments intenses de rencontre avec les grands pélagiques (et le grand frisson qui en découle) comme les marteaux de Daedalus et les longimanes d’Elphinstone… C’est donc en octobre 2018 que ce rêve éveillé s’est concrétisé. Comme à mon habitude, je vais faire un compte-rendu de cette croisière, et qui sait, cela vous donnera peut-être envie de plonger au Paradis !
Je n’ai pas gardé un super souvenir de mes plongées sur les Îles Brothers (comme le raconte mon article sur les bulles qui descendent), par contre, j’aime beaucoup le récif d’Elphinstone (sur lequel on peut faire des rencontres magiques) et j’ai eu un coup de cœur pour le « grand sud égyptien » lors de ma dernière croisière en 2017. J’ai donc regardé les offres et mon choix s’est porté sur le parcours « SuperMix » proposé par SeaBase, nouvelle entreprise créée en 2018 par mon ami Amr Rushdy, Directeur de Plongée bien connu en Égypte, et officiant depuis de nombreuses années. J’ai d’ailleurs rencontré Amr lors de ma croisières « B.D.E. » de 2013, et l’ai revu sur la « St John » en 2017, nous avons sympathisé et sommes toujours restés en contact régulier.
En créant SeaBase, Amr a eu l’idée du programme « SuperMix« . Celui-ci m’a plus car il mélange le meilleur de la « B.D.E. » et de la « St John ». C’est donc tout naturellement que nous avons opté pour ce parcours. Au fur et à mesure que la date du départ approchait, l’excitation nous gagnait tous, avec des sentiments partagés d’impatience et d’appréhension liés aux rencontres hypothétiques avec des squales que nous pourrions être amenés à vivre.
Pour organiser cette croisière, j’ai donc réservé 4 places directement auprès de SeaBase. Nathalie, qui assure le contact pour la société en France. J’ai pris soin de réserver des blocs 15 litres pour la croisière, afin d’optimiser nos temps de plongée (cette réservation coûte seulement 40 € supplémentaires, je trouve que cela ne vaut pas le coup de s’en passer). Elle m’a ensuite mis en relation avec Mohamed Salem, de la société « Les Voyages de Pharaon » pour réserver les billets d’avion pour le vol Roissy – Marsa Alam. Cette réservation m’a aussi permis d’obtenir directement les visas (et donc de ne pas avoir à faire la queue pour l’obtenir auprès du contact égyptien à l’arrivée). Je ne suis donc pas passé par une agence de voyages, ce qui m’a permis une petite économie. Pour le vol charter (assuré par Air Cairo), il ne faut pas s’attendre à du grand confort, ni à une grande qualité gustative de la collation servie à bord (le sandwich au fromage distribué à 23h30 reste un « grand moment » de mastication d’une chose comestible qui ressemble à du pain, mais qui est plus proche du caoutchouc au niveau de la texture, et qui est totalement insipide !). Ceci dit, le prix du vol aller-retour reste raisonnable.
Après avoir décollé avec une heure trente de retard sur l’horaire prévu (initialement 20h00), nous avons atterri à l’aéroport international de Marsa Alam vers 02h30 du matin, et, une fois les formalités douanières effectuées et les bagages récupérés, nous avons pu rejoindre notre bateau, le Hammerhead dans la marina de Port Ghalib (on ne met qu’environ 15 minutes en minibus pour rejoindre la marina depuis l’aéroport) vers 04h00 du matin. Nous avons été chaleureusement accueilli par Ali, notre Directeur de Plongée pour cette croisière.
Le navire sur lequel nous avons embarqué n’est pas le plus gros de Mer Rouge, il peut embarquer jusqu’à 20 plongeurs répartis dans 6 cabines en soute et 4 cabines sur le pont supérieur. Le confort du navire est tout à fait correct, mais on n’y retrouve pas le luxe d’autres bateaux connus officiant dans la même zone (ceci dit, ce n’est pas ce que je recherche en premier). Un grand espace salon / salle à manger est accessible sur le pont principal et donne directement sur la zone d’équipement (on retrouve là les traditionnelles caisses numérotées pour y déposer son matériel de plongée). Cet espace est entièrement vitré et utilise l’espace qui traditionnellement est dévolu aux coursives, ce qui permet d’avoir une pièce qui fait la largeur du bateau… Globalement, j’ai trouvé que le bateau était en bon état, avec peu de défauts de conception.
Le dimanche matin, après une courte nuit, le navire a quitté la marina vers 08h30, Ali a procédé au rituel contrôle des cartes de niveau, des assurances, et des certificats médicaux, tandis que nous remplissions et signions le questionnaire de santé obligatoire et faisions connaissance avec les autres participants de la croisière (un excellent groupe au demeurant, nous nous sommes faits de nouveaux amis !). L’armée égyptienne avait interdit l’accès aux sites de St John’s Reef, du fait de manœuvres militaires. Le parcours a donc été adapté et nous sommes restés 2 jours au lieu d’un seul sur le récif de Daedalus. D’autre part nous avons « subi » pendant presque trois jours la présence du vent du sud (chose très inhabituelle en cette saison) qui a aussi contraint notre DP à adapter le parcours (l’étape prévue à Sataya a dû être annulée par manque de visibilité, et absence de la colonie de dauphins). A bord, Ali se partageait la tâche avec Hussein, un autre moniteur. Nous avons pu apprécier la qualité, la gentillesse, et la très grande compétence de ces 2 guides sur les plongées qu’ils nous ont proposées. En effet, ils ont été constamment à notre écoute et ont tout fait pour nous permettre de réaliser des plongées d’exception ! Je dirais que j’ai hâte de pouvoir replonger avec eux !
Comme à mon habitude, je vous propose maintenant le résumé, jour par jour, des plongées que nous avons effectuées :
- Jour #1 – Dimanche – Plongée #1 (Abu Dabbab 3) et Plongée #2 (Elphinstone Reef)
La traditionnelle plongée d’adaptation s’est déroulée sur le site bien connu d’Abu Dabbab 3, où nous avons pu ajuster notre lestage, observer la faune récifale, et effectuer un envoi de parachute en fin de plongée. Cette plongée est aussi l’occasion de commencer à exercer son œil et d’affûter son regard pour dénicher les spécimen de la faune sous-marine tropicale présente sur le site. Nous avons pu y observer entre autres : une belle raie pastenague à points bleus (« Taeniura Lymma« ), plusieurs poissons soldat (« Holocentrus Adscensionis« ), les bancs d’anthias (« Anthias Anthias« ) qui nagent contre le courant en restant proches des coraux pour pouvoir s’y abriter. En fin de plongée, un napoléon (« Cheilinus Undulatus« ) de taille respectable est passé devant nous et nous a accompagnés pendant la fin de la plongée… Nous sommes revenus à la poupe du navire où chacun d’entre nous a envoyé son parachute… Malgré une nuit courte et agitée, cette plongée s’est très bien déroulée et nous a galvanisés pour la suite à venir !
La deuxième plongée s’est effectuée sur le site d’Elphinstone Reef (de son vrai nom Sha’ab Abu Hamra). Chose inhabituelle, le courant était inversé, il venait du sud. De fait le bateau s’est amarré sur la pointe nord du récif, et nous avons été largués à la pointe sud pour effectuer une dérivante vers le nord, sur le flanc ouest. quand nous sommes arrivés à la pointe nord, nous avons profité d’être protégés du « jus » pour passer sur le flanc est et continuer notre exploration. Nous n’avons pas vu de requin baleine comme en Avril 2017, mais nous avons pu observer plusieurs carangues géantes, des vivaneaux (« Macolor Niger« ) en banc compact. Durant toute la plongée, nous avons tous entendu les cliquetis caractéristiques de dauphins en train de communiquer, sans toutefois pourvoir les observer. Le courant étant assez constant, nous sommes pratiquement parvenus à effectuer le tour du récif, c’est la première fois que cela m’arrivait.
Du fait de la fermeture des sites de plongée de St John’s Reef, nous sommes restés deux jours entiers autour du récif de Daedalus Reef (de son vrai nom Abu Kizan). L’affluence sur le site (près de 30 bateaux de croisière présents) était telle que nous n’avons pas pu nous amarrer le premier jour, et sommes restés en dérive et en veille au large du phare. Nous avons donc pu effectuer 6 plongées au total, à la recherche des requins marteaux sur la pointe nord, pour ensuite nous laisser dériver alternativement sur le tombant est ou ouest en fonction de la luminosité. Nous avons eu la grande chance d’observer à plusieurs reprises un très gros banc de « Sphyrna Lewini » ainsi que des rencontres avec des « Carcharhinus Longimanus« . La cerise sur le gâteau aura été l’observation de 3 « Mobula Birostris » (en effet la raie manta n’existe plus officiellement depuis une étude scientifique qui date de 2017, on doit parler aujourd’hui de raies mobula). Ce récif tient toujours ses promesses quant à la possibilité de rencontre avec de grands pélagiques !
Nous quittons Abu Kizan après notre sixième plongée sur le site, et faisons route vers le grand sud, la navigation va durer une bonne partie de la soirée et de la nuit.
Nous nous réveillons avec le navire en dérive entre Rocky Island et Zabargad Island. D’habitude les bateaux s’abritent au sud de Rocky Island (de son vrai nom Fandira El Gebel), mais une fois de plus, le vent du sud perturbe le mouillage. La capitaine fait alors amarrer le bateau à la pointe nord. Nous partons pour deux plongées autour de Rocky Island, en partant en dérivante du nord vers le sud (le courant est très faible), et ensuite nous effectuons la classique plongée du site qui consiste à pratiquement faire le tour de l’île. Nous n’observerons pas de « Carcharhinus Albimarginatus » (requin à pointes blanches de récif), mais un thon à dents de chien (« Gymnosarda Unicolor« ) de belle taille nous accompagnera une bonne partie de la plongée, tout comme 3 grands barracudas (« Sphyraena Barracuda« ), certainement intrigués par notre présence et nos bulles ! Il est à noter que le haut du récif est absolument magnifique, la zone des 4-8 mètres étant d’une richesse exceptionnelle en coraux de toutes sortes, et de la faune récifale qui va avec. J’observe d’ailleurs mon premier poisson perroquet à bosse (« Bolbometopon muricatum« ) !
Pour notre troisième plongée, le navire met le cap vers Zabargad Island (aussi appelée l’Île St Jean, de son nom arabe El Gebel – « La Montagne »). Sur cette île, on pouvait trouver des pierres semi-précieuses du genre des topazes (les grecs l’avaient d’ailleurs nommée « Topazos »). Le vent du sud va nous permettre d’effectuer une plongée rarement proposée : celle du cargo russe. Il s’agit d’un petit cargo qui s’est échoué sur le récif en s’y encastrant en profondeur, ce qui a eu pour effet de littéralement disloquer la proue du navire. Après une rapide exploration de l’épave, nous sommes partis « main droite » pour explorer les patates de roche recouvertes de coraux. L’ambiance était assez étrange avec beaucoup de sable en suspension, ce qui a fait dire à certains membres du groupe « qu’on se serait crus en Bretagne » (alors que chacun sait que la visibilité est toujours exceptionnelle dans mon pays ). Nous avons traversé un magnifique jardin de corail, très riche et varié. En revenant au bateau, certains d’entre nous ont pu apercevoir un longimane et plusieurs dauphins venus se promener sous le bateau.
- Jour #5 – Jeudi – Plongée #12 (Sha’ab Maksour), plongée #13 (Sha’ab Sharm) et plongée #14 (Sha’ab Marsa Alam)
Comme je l’ai dit plus haut, les plongées sur Sataya ont dû être avortées, et à la place, Ali et Hussein nous ont proposé de plonger sur deux beaux récifs frangeants. Le premier d’entre eux était Sha’ab Maksour. Nous y avons exploré le plateau sud. Nous avons eu l’énorme chance de pouvoir observer 2 raies mobula (rappelez-vous, la raie manta n’existe plus ), dont une qui a gentiment effectué trois loopings devant nos yeux ébahis. Sur le chemin du retour, nous avons pu observer un très gros baliste titan (« Balistoides Viridescens« ), qui, nous voyant arriver, est parti se cacher dans les coraux du platier. La plongée s’est continuée sur le plateau sud où un gros napoléon s’est un peu laissé approché ! Pour finir, nous terminé l’immersion sur le platier à la limite de l’accord de roche, et sommes revenus tranquillement vers le navire à profondeur de palier.
La deuxième plongée s’est déroulée sur le récif de Sha’ab Sharm. La bateau a mouillé au nord du récif, et nous avons effectué un largage depuis le semi-rigide pour explorer le plateau est. En nous promenant sur le plateau, nous avons observé cinq grands barracudas peu farouches qui se sont laissés approcher. Dans le bleu, nous avons pu apercevoir une grosse tortue qui remontait respirer une goulée d’air frais puis redescendre le long du tombant. Lorsque nos manomètres ont affiché 100 bar, nous avons fait demi-tour pour rentrer main gauche le long du tombant au nord du récif et profitons de la richesse des coraux. Quand vient le moment d’effectuer le palier de confort, j’envoie mon parachute, et quasiment à la fin du palier, je vois un requin longimane se diriger droit vers moi (alors que j’avais éteint ma caméra GoPro ). J’ai quand même pu l’observer à loisir et le voir virevolter nonchalamment autour de moi quelques secondes (qui m’ont paru assez longues). Ensuite, il s’est désintéressé de ma personne et est retourné marauder le long du récif. Lorsque le semi-rigide nous a ramenés sur le Hammerhead, nous avons pu revoir le même requin tourner autour du bateau, certainement attirés par d’éventuels restes de cuisine…
On ne fait pas une croisière plongée sans effectuer une plongée de nuit ! Cette dernière s’est effectuée sur le site de Sha’ab Marsa Alam, situé à quelques milles à l’est de la ville éponyme. Le principe de la plongée a été de s’immerger sur la patate de roche située au sud-est du récif principal, et d’en faire le tour. On découvre ainsi une épave d’un bateau de plaisance qui a coulé là il y a quelques années. L’épave en elle-même est sans grand intérêt, l’ensemble ressemble plus à un dépotoir qu’à une épave en tant que telle. Néanmoins, nous avons été témoin d’un spectacle assez fabuleux : un énorme banc de « glassfish », alias les poissons hachette nains ou poissons de verre (« Parapriacanthus Ransonneti« ), s’agitaient frénétiquement devant nous, au point de même venir nous heurter, tels une nuée de sauterelles. La cause de cette agitation frénétique était simple, des carangues géantes ou carangues à grosse tête (« Caranx Ignobilis« ) étaient à la chasse et se régalaient de tant d’abondance. nous avons ensuite pu observer des escadrilles de rascasses volantes (« Pterois Volitans« ) et des rascasses à nageoires blanches (« Pterois Radiata« ) à la chasse également. De même, nous avons pu observer plusieurs espèces d’oursins : oursin cuir (« Asthenosoma marisrubri« ), oursin diadème(« Diadema Setosum« ) et une jolie comatule (« Comatulida« ).
- Jour #6 – Vendredi – Plongée #15 (Elphinstone Reef) et plongée #16 (Marsa El Shouna)
Pour notre dernier jour de croisière, nous avons replongé sur Elphinstone Reef, et nous avons exploré le plateau sud. C’est certainement la plongée que je préfère sur Elphinstone, car on y fait toujours des rencontres surprenantes ! Je m souviens d’un Napoléon énorme venu m’observer, se demandant certainement ce que je venais faire à cet endroit ! D’autre part, on peut aussi, en s’écartant un peu du récif apercevoir l’arche majestueuse qui se trouve tout au sud par 55 mètres de fond ! Pour cette plongée, nous avons été largués depuis un semi-rigide sur la face est et sommes revenus main droite le long du plateau. J’ai pu voir plusieurs carangues, des barracudas, puis en remontant le plateau sur la face ouest nous avons rejoint le tombant. En le longeant, une jeune tortue imbriquée (« Eretmochelys Imbricata« ) s’est laissée approchée, affairée qu’elle était à se repaître d’alcyonnaires. Nous avons passé plusieurs minutes avec elle, sans la déranger il va de soi, et c’est plutôt elle qui venait au contact ! Notre plongée s’est terminée au-dessus du plateau sud.
Au vu de l’affluence, nos guides ont pris la décision de quitter le récif pour nous proposer notre dernière sur le site de Marsa el Shouna. Il est dit que lors de cette plongée on peut observer avec un peu de chance un dugong (« Dugong Dugon« ). J’ai toujours cru que le dugong et le lamantin étaient le même animal. C’est ma fille L., à la suite d’un pari stupide de ma part, qui m’a fait prendre conscience de ma méprise. Malgré une exploration de la prairie dans la baie, nous n’avons pas vu l’ombre d’un dugong à l’horizon. D’ailleurs, au fur et à mesure que nous remontions dans le fond de la baie, la visibilité devenait de plus en plus médiocre. Comprenant que nous ne verrions pas le fameux cétacé, nous sommes repartis le long du récif main gauche pour y admirer les merveilles de la vie récifale. J’ai ainsi pu dénicher un poisson crocodile juvénile (« Cymbacephalus Beauforti« ), ainsi que plusieurs tétrodons masqués (« Arothron Diadematus« ), et un joli diodon ou poisson porc-épic (« Diodon Hystrix« ). C’était une bien jolie plongée pour terminer notre périple !
Nous sommes donc rentrés à la marina de Port Ghalib vendredi après-midi. Nous avons eu la surprise faite par Amr de nous voir proposer une sortie en « quad » dans le désert pour notre dernière soirée. Cette proposition a plus à tous les participants, car elle nous a permis d’éviter l’ambiance « communauté fermée » de Port Ghalib, ce qui ne nous a pas empêché d’avoir déguster le verre de l’amitié dans un des nombreux bars longeant la marina !
Le retour s’est effectué classiquement avec le ré-empaquetage du matériel dans nos sacs, le transfert vers l’aéroport et l’attente du vol. Cette croisière aura été pour moi certainement une des plus agréables que j’ai pu effectuée, j’ai déjà hâte de retourner en Égypte côtoyer les requins marteaux, longimanes, et autres soyeux …
Je vais prochainement effectuer un montage vidéo pour vous donner une petite idée des merveilles que nous avons pu observer, je mettrai l’article à jour à cette occasion.
J’espère, par ce petit compte-rendu vous avoir donné envie d’aller tremper vos palmes du côté de Daedalus, d’Elphinstone, ou dans le grand sud égyptien, si oui, faites le moi savoir, et merci pour vos retours !
Super plongée.
TUn m’as mis l’eau à la bouche et rappeler de beaux souvenirs quand je plongeais a Djibouti .
Juste un point de précision , essayé de nous donner les profondeurso.
Merci encore pour ce moment de rêve.
Merci Christian ! Je vais mettre les liens vers mon divelog sur l’article, ainsi tous les paramètres seront disponibles ! Je n’ai jamais, hélas, plongé à Djibouti, mais j’ai souvent entendu parler de la magie du Goubet !